Le cambriolage du domicile de François Hollande et de Julie Gayet continue d’alimenter les conversations à Paris. L’affaire, révélée à la fin du mois de novembre, a rapidement pris une ampleur nationale, tant par le nom des victimes que par la vitesse à laquelle les enquêteurs ont avancé.
L’effraction, survenue le 22 novembre 2025, a eu lieu dans la résidence parisienne du couple, en pleine soirée. Les voleurs ont ciblé un objet précis, une montre de valeur, dont la disparition a immédiatement déclenché une enquête particulièrement suivie.
Dès les premières heures, les policiers ont travaillé sur plusieurs pistes, croisant relevés techniques, exploitation des images et retours de terrain. Moins d’une semaine après les faits, deux hommes ont été interpellés, puis placés en détention provisoire, une décision qui illustre la sensibilité du dossier. Les suspects, entendus par le juge d’instruction, ont été mis en examen pour vol en bande organisée, une qualification pénale rarement utilisée pour un cambriolage isolé. Elle laisse penser que les enquêteurs envisagent des ramifications plus larges, peut-être un réseau spécialisé dans les effractions de domiciles privés.
Pour le couple Hollande-Gayet, c’est autant un choc qu’un rappel de la vulnérabilité des logements parisiens, même lorsqu’ils appartiennent à des personnalités publiques. La montre dérobée a été retrouvée, mais le climat d’insécurité généré par l’intrusion reste bien présent.
L’affaire continue désormais son chemin judiciaire, entre analyses techniques et vérifications des déclarations des suspects. Les prochains jours seront déterminants pour comprendre si le cambriolage était le fruit d’une opportunité ou l’acte d’une équipe structurée.
Une chose est sûre : ce fait divers montre, une fois de plus, que les cambrioleurs n’hésitent plus à viser des personnalités connues, malgré les dispositifs de sécurité censés les protéger.
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